Des contes pour les Tout petit au RAM de DURAS
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La ferme du Cadet fête ses 30 ans:
Emission sur CFM Radio
Si vous n'avez pas pu l'écouter, vous pouvez toujours aller sur leur site et cliquer sur l'onglet "Ecouter".
Une interview et des contes à écouter!!http://www.cfm92.com/blog/?p=1777
Cynthia Tapie au pays des contes
Raconter des histoires, elle en a fait son métier, pour le plaisir des petits et des grands.
Cynthia Tapie, conteuse et chanteuse, enchante son public. (Photo Cathy Darbord)
Assis en tailleur ou sur une chaise en demi-cercle devant elle, Cynthia Tapie a rassemblé un large groupe d’enfants. Une heure après, tous sont sous le charme. Car dans la salle Jean-Caubet, au premier étage du centre culturel Paul-Dumail, la « Conteuse et tricoteuse d’histoires » Cynthia Tapie a décidé de poser sa guitare et sa boite à bruit une fois par mois pour une heure de voyage au pays merveilleux et mystérieux des contes.
Samedi, les monstres étaient à l’honneur. Mais « les gentils ! ». Les histoires sont tirées au sort, mais peu importe le thème, ce qui compte c’est que Cynthia entre dans la peau de son personnage. Une fois habitée, la conteuse se transforme, son regard, ses gestes, son langage, tout, comme par un coup de baguette magique, emporte le public dans un univers unique.
Une fée du langageLe conte prend vie. Cynthia Tapie évolue avec aisance. « Je suis devenue conteuse presque naturellement. On m’en racontait beaucoup quand j’étais petite et j’en réclamais beaucoup. Dès que j’ai su lire, je me suis plongée dans les livres et je n’en suis pas encore ressortie. D’ailleurs à l’université, mon mémoire portait sur des contes collectés par Bladé dans l’Agenais et la Gascogne », explique-t-elle. Une passion dont elle fait largement profiter ses deux enfants et ses élèves (puisqu’ elle enseigne à Miramont-de-Guyenne et Casteljaloux).
Poussée par l’envie de transmettre, Cynthia décide d’apprendre l’art de raconter les histoires. Elle écoute « des professionnels », s’émerveille devant leur manière de « rendre les gens heureux ». Un bonheur qu’elle veut aussi partager : « Ce qui est important, c’est de garder la structure et le sens du conte. Ensuite, je vais le raconter en m’inspirant de mon monde, de mes images, ma sensibilité. Puis, j’essaie de l’adapter à l’âge de mon public, qui va de 3 à 99 ans, mais toujours de façon très imagée. J’ai la chance d’être musicienne et cela m’aide beaucoup pour varier les rythmes, les intonations et quelquefois d’ajouter des chansons, des petits accompagnements dans mes histoires. Je suis toujours émerveillée par la façon dont le public reçoit les contes. »
Intarissable sur «l’art de conter», Cynthia Tapie, présidente de la Photoconte depuis deux ans, a franchi les étapes grâce à l’association créée en 2007 par Stéphanie Thuilliez. Aujourd’hui, huit conteurs amateurs er bénévoles proposent régulièrement des veillées contées gratuites, suivies d’une collation, sur plusieurs communes avec des thématiques différentes à chaque fois.
Samedi, les monstres étaient à l’honneur. Mais « les gentils ! ». Les histoires sont tirées au sort, mais peu importe le thème, ce qui compte c’est que Cynthia entre dans la peau de son personnage. Une fois habitée, la conteuse se transforme, son regard, ses gestes, son langage, tout, comme par un coup de baguette magique, emporte le public dans un univers unique.
Une fée du langageLe conte prend vie. Cynthia Tapie évolue avec aisance. « Je suis devenue conteuse presque naturellement. On m’en racontait beaucoup quand j’étais petite et j’en réclamais beaucoup. Dès que j’ai su lire, je me suis plongée dans les livres et je n’en suis pas encore ressortie. D’ailleurs à l’université, mon mémoire portait sur des contes collectés par Bladé dans l’Agenais et la Gascogne », explique-t-elle. Une passion dont elle fait largement profiter ses deux enfants et ses élèves (puisqu’ elle enseigne à Miramont-de-Guyenne et Casteljaloux).
Poussée par l’envie de transmettre, Cynthia décide d’apprendre l’art de raconter les histoires. Elle écoute « des professionnels », s’émerveille devant leur manière de « rendre les gens heureux ». Un bonheur qu’elle veut aussi partager : « Ce qui est important, c’est de garder la structure et le sens du conte. Ensuite, je vais le raconter en m’inspirant de mon monde, de mes images, ma sensibilité. Puis, j’essaie de l’adapter à l’âge de mon public, qui va de 3 à 99 ans, mais toujours de façon très imagée. J’ai la chance d’être musicienne et cela m’aide beaucoup pour varier les rythmes, les intonations et quelquefois d’ajouter des chansons, des petits accompagnements dans mes histoires. Je suis toujours émerveillée par la façon dont le public reçoit les contes. »
Intarissable sur «l’art de conter», Cynthia Tapie, présidente de la Photoconte depuis deux ans, a franchi les étapes grâce à l’association créée en 2007 par Stéphanie Thuilliez. Aujourd’hui, huit conteurs amateurs er bénévoles proposent régulièrement des veillées contées gratuites, suivies d’une collation, sur plusieurs communes avec des thématiques différentes à chaque fois.
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